1/ Connaissez-vous le Celsa ? Cet institut de formation en communication réputé pour notamment sortir des journalistes de talent va organiser le 25 mai son premier séminaire de Création d’Entreprise.
2/ Une convention a été récemment signée entre Audencia Nantes et Atlanpole, technopole, centre européen d’expertise et d’innovation de Nantes et incubateur régional des Pays-de-la-Loire.
3/ L’ESCEM et l’ISC ont décidé de réunir leurs compétences d’écoles de management pour organiser un colloque international sur l’entrepreneuriat...
4/ Et une petite remarque sur les liens écoles-entreprises et l'actuel développeemnt des fondations...
1/ Connaissez-vous le Celsa ? Cet institut de formation en communication réputé pour notamment sortir des journalistes de talent va organiser le 25 mai son premier séminaire de Création d’Entreprise. Objectifs : sensibiliser ses étudiants à la création d’entreprise et inviter ceux qui ont un projet à le réaliser en leur proposant les conseils d’un groupe d’experts professionnels ainsi qu’un accompagnement en démarrage. Lancement de la manifestation le 25 mai dès 13h.
Pour en savoir plus, allez donc sur le site du Celsa et cliquez sur l’onglet presse…
2/ Une convention a été récemment signée entre Audencia et Atlanpole, technopole, centre européen d’expertise et d’innovation de Nantes et incubateur régional des Pays-de-la-Loire.
Ce partenariat concerne tous les étudiants d’Audencia mais aussi et surtout ceux des programmes MBA et executive MBA dont les promotions comportent traditionnellement de nombreux ingénieurs. But de la manœuvre : aider ces créateurs à accéder au réseau et aux expertises d’Atlanpole pendant qu’Audencia traitera des aspects économiques de la création d’entreprises.
Pour en savoir plus, cliquez sur les liens du texte...
3/ L’ESCEM et l’ISC ont décidé de réunir leurs compétences d’écoles de management pour organiser un colloque international sur l’entrepreneuriat en partenariat avec l’Université College de Cork (Irlande) et l’Université de Sherbrooke (Québec) avec le soutien de l’Académie de l’Entrepreneuriat. Le colloque se déroulera à l’ISC Paris, 22 boulevard du Fort de Vaux, dans le 17e, le 11 juin de 9h à 19h.
Un petit lien…
Grandes écoles et entreprises, le nécessaire rapprochement...
4/ Une petite réflexion enfin qui m’est venue ces dernières semaines suite à plusieurs articles écrits pour Grandes Ecoles Magazine, un des supports auxquels je collabore.
J’ai pu interviewer pour cette publication plusieurs directeurs d’écoles mais aussi des présidents d’associations de diplômé sur la problématique suivante : l’avenir des grandes écoles passera-t-il par un rapprochement avec l’entreprise ? Sachez-le, la réponse est oui. Unanime auprès des tous mes interlocuteurs, qu’ils viennent d’Audencia Nantes, Euromed Marseille, l’INT, l’ISG, l’Ena, Supaéro, ou encore l’Insead…
A l’heure où les universités manquent de moyens et tergiversent quant aux solutions pour s’en sortir –se rapprocher de la sphère professionnelle pour avoir plus de sous, pourquoi pas, mais alors ne serait-ce pas vendre son âme au grand capital ?– les grandes écoles ont, elles, bien compris l’intérêt de faire appel aux entreprises.
Aujourd’hui, ces dernières savent déjà intervenir de maintes manières… Taxe d’apprentissage, participation aux enseignements par l’animation d’amphis, mise en place de chaires –enseignements spécialisés financés par une entreprise à hauteur, parfois, de plusieurs centaines de milliers d’euros par an–, contrats de recherche, les formes par lesquelles les entreprises aident les institutions d’enseignement supérieur sont nombreuses.
Elles le seront encore davantage à l’avenir. Parce que les moyens financiers ainsi collectés ne suffisent pas. La course à l’excellence académique suppose en effet la course aux meilleurs profs, aujourd'hui véritables stars « draguées » par les meilleures universités internationales.
Les fondations auxquelles peuvent donner les entreprises moyennant de substantielles remises d’impôts sont donc des solutions d’avenir… Voyez plutôt. Selon le dispositif fiscal mis en place en 2003, une entreprise peut déduire 60 % de ses dons aux fondations de ses impôts dans la limite de 5 pour mille du chiffre d'affaires… Et un particulier de 60 % dans la limite de 20 % de ses revenus annuels. Résultat, ces structures s se multiplient. Même l’Ecole supérieure militaire de Saint-Cyr s‘y est mise. Et les professionnels sont de plus en plus nombreux à apporter ainsi leur écot… A HEC, on envisage ainsi la collecte de 110 à 120 millions d'euros à moyen terme. Ebouriffant non ?
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