Dans quelques jours se déroulera le deuxième sommet de l'Alliance étudiante franco-britannique. Un événement autour d'Oxford en présence de plus de 300 étudiants venus de Sciences Po, HEC, Polytechnique mais aussi de LSE, d'Oxford et Cambridge...
"Mondialisation et modernisation de l'enseignement supérieur: les systèmes français et britannique sont-ils prêts?" Tel sera donc le thème de la prochaine rencontre prévue à la Saïd Business School d'Oxford le 15 décembre, réunion à laquelle participeront près de 300 étudiants français et anglais.
Ce débat occupera une place centrale lors du deuxième sommet annuel de l'Alliance étudiante franco-britannique (AEFB) prévu du 14 au 16 décembre. Fondée en 2004 au Château de Breteuil à l'occasion des célébrations officielles du centenaire de l'Entente Cordiale, l'AEFB rassemble des étudiants, professeurs et jeunes diplômés de six prestigieuses universités et grandes écoles de chaque côté de la Manche –HEC, Sciences-Po, Polytechnique, Oxford, Cambridge et London School of Economics.
Objectif de l'alliance, promouvoir la coopération franco-britannique et encourager les projets conjoints entre étudiants et jeunes diplômés à l'occasion de rencontres régulières permettant de débattre de grands thèmes contemporains tels l'enseignement supérieur, le développement et la pauvreté, la sécurité et la défense ou encore les grands changements climatiques.
Le sommet d'Oxford sera précédé le 14 décembre d'un déjeuner de Noël à Westimenter ainsi que d'un gala d'ouverture à Lancaster House, à Londres.
Le premier sommet de l'AEFB s'est tenu à Paris en décembre 2005... Un étudiant de Cambridge avait déclaré avoir eu à cette occasion l'impression d'assister au "Davos" des étudiants.
Parmi les invités et les intervenants du week-end: Jack Straw, président de la House of Commons, Lord Butler, Gérard Errera, Ambassadeur de France au Royaume-Uni, Hervé Crès, directeur délégué de l'Ecole HEC, Sir Howard Davis, directeur de la LSE ou encore Tristan Lecoq, conseiller du Premier Ministre français pour l'Education. Que du beau monde...
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