Depuis le temps que cette note était annoncée, la voici enfin... Il faut dire que j'ai eu du mal à joindre Antoine Jacques, auteur de l'article ainsi commenté. Mes activités, assez denses ces derniers temps, m'ont en outre largement mobilisé... Mais voici donc...
Il y a désormais trois mois était publié au sein de la revue "Esprit" un article intitulé "HEC, la réussite insouciante". L'auteur, Antoine Jacques –lui même diplômé de l'institution– y stigmatise l'opposition entre un discours maison vantant la diversité du recrutement et l'excellence de son enseignement et une pédagogie formant des étudiants standardisés, efficaces mais aussi superficiels... Vous trouverez un lien en bas de note. En attendant, interview de l'auteur.
Pour résumer, votre article reproche à HEC un enseignement nivelant les différences et modelant chaque élève en fonction d'une pensée unique relativement peu glorieuse...
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Jusqu'à aujourd'hui, l'Ina PG (Institut national agronomique Paris-Grignon) formait les ingénieurs agronomes et l'Engref (Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts) les spécialistes des eaux et forêts.
Depuis le 13 décembre pourtant, ce bel agencement a pris fin avec l'annonce par le ministère de l'Agriculture et de la Pêche du rapprochement de ces deux établissements mythiques en plus d'une troisième institution, l'Ensia (Ecole nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires de Massy) pour former l'Institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement (Agro ParisTech), grand établissement d'enseignement supérieur agricole. Soit un ensemble de 2300 étudiants et 200 enseignants chercheurs, sous statut d'établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel. De quoi bénéficier d'une grande autonomie, d'une vraie recherche et d'une bien meilleure visibilité internationale.
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Ouf! Grosse actu de mon côté ces derniers jours... Et aucune note depuis plus de dix jours... Voici néanmoins un petit article rédigé pour le blog enviedentreprendre.com
Fin octobre, Télécom Paris –l’ancienne ENST– annonçait fièrement accueillir son 100e incubé. Une centaine de projets soutenus en sept ans par Télécom Paris Entrepreneurs, structure dédiée dont le succès ne s’est jamais démenti. De quoi faire de l’école un leader en matière d’entrepreneuriat. Explications d’Henry Pironin, délégué aux relations entreprises et responsable de la création d’entreprise de Télécom Paris. Ce personnage est également fondateur de CCI Création –aujourd’hui Entreprendre en France– dont il fut patron pendant plusieurs années.
Pouvez-vous nous présenter Télécom Paris Entrepreneurs ?
Mis en place en 1999, ce dispositif consiste tout d’abord en des opérations de sensibilisation à l’entreprise menées auprès des élèves, des enseignants-chercheurs mais aussi du personnel de l’école. Télécom Paris Entrepreneurs, c’est aussi un module d’enseignement –une « brique » en langage maison–, nommée Créa et dédiée à la création d’entreprise. Nous disposons en outre d’un incubateur, structure capable d’accueillir les jeunes pousses pendant 18 mois maximum.
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Dans quelques jours se déroulera le deuxième sommet de l'Alliance étudiante franco-britannique. Un événement autour d'Oxford en présence de plus de 300 étudiants venus de Sciences Po, HEC, Polytechnique mais aussi de LSE, d'Oxford et Cambridge...
"Mondialisation et modernisation de l'enseignement supérieur: les systèmes français et britannique sont-ils prêts?" Tel sera donc le thème de la prochaine rencontre prévue à la Saïd Business School d'Oxford le 15 décembre, réunion à laquelle participeront près de 300 étudiants français et anglais.
Ce débat occupera une place centrale lors du deuxième sommet annuel de l'Alliance étudiante franco-britannique (AEFB) prévu du 14 au 16 décembre. Fondée en 2004 au Château de Breteuil à l'occasion des célébrations officielles du centenaire de l'Entente Cordiale, l'AEFB rassemble des étudiants, professeurs et jeunes diplômés de six prestigieuses universités et grandes écoles de chaque côté de la Manche –HEC, Sciences-Po, Polytechnique, Oxford, Cambridge et London School of Economics.
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Et puis une petite interview de Christine Lagarde, ministre déléguée au Commerce extérieur, sur BFM. En date du 23/11. Elle y parle des VIE et d'un accord conclu avec la CNJE dans le domaine...
Pour écouter, c'est ici: Téléchargement 01_christine_lagarde_le_23_novembre.mp3
1/ Pour résumer, il y a aujourd'hui 40 000 candidats de grande qualité aux VIE pour seulement 4500 personnes actuellement en poste. La formule est intéressante pour les grands groupes qui emploient la majorité des VIE et les utilisent comme outil de recrutement mais aussi pour les PME. 60 à 70% des jeunes se voient recrutés à la suite de cette période.
Lire la suite "Le Volontariat International en entreprise, un programme "gagnant-gagnant"... (2/2)" »
Voilà longtemps que les entreprises que je visite et dont j'interviewe les dirigeants me décrivent les VIE comme autant d'opportunités de recrutement évidentes de jeunes diplômés. Mais qu'est-ce qu'un VIE me demandai-je un jour?...
Quelques réponses...
Le Volontariat International en Entreprise est un dispositif permettant à un organisme français situé à l'étranger de recruter un jeune de 18 à 28 ans pour une mission professionnelle elle-même placée à l'étranger. Il fait suite à la Coopération au Service National à l'Etranger (CSNE).
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Il y a désormais trois mois était publié au sein de la revue "Esprit" un article intitulé "HEC, la réussite insouciante". L'auteur, Antoine Jacques –lui même diplômé de l'institution– y stigmatise l'opposition entre un discours maison vantant la diversité du recrutement et l'excellence de son enseignement et une pédagogie formant des étudiants standardisés, efficaces mais aussi superficiels... Vous trouverez un lien en bas de note. En attendant, interview de l'auteur.
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