Petit opus commis pour la newsletter de mai de l'Observatoire Boivigny...
Alors que les formations françaises de management brillent dans les classements internationaux, les écoles d'ingénieurs se font plus discrètes. Parmi elles, Polytechnique, incontestée en France, mais mise en difficulté par les classements de l'Université Jiao Tong de Shanghai et du THES.
Pour Philippe Alquier, directeur de cabinet à l'Ecole Polytechnique, « ces classements font incontestablement appel à des critères qui privilégient les universités anglo-saxonnes: d'une part la taille des établissements, d'autre part leur potentiel en matière de publications de recherche ou encore le nombre de leurs prix Nobel. Cependant, il ne faut pas ignorer ces rankings qui posent la question de l'organisation de la recherche française, placée sous la tutelle de grands organismes comme le CNRS, l'Inria et l'Inserm, ce qui nuit à la visibilité de nos établissements. » (1)
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